Plus de 90 tracts ont été distribués dont ceux pris à la table. Une personne m’a pris un tract en me signalant qu’elle me le prend malgré qu’elle pratique la chasse.
Une discussion a lieu avec des personnes qui soutenaient énormément mon combat et en même temps, se trouvaient très conditionnées sur le fait de manger de la « viande ». Le véganisme ne constituait pas une priorité dans leur vie. Les arguments pour remettre en cause l’exploitation animale ne les ont pas convaincu. Elles sont plutôt pour une politique des petits pas qui consiste à améliorer les conditions de vie des animaux.
Une discussion avec des personnes végétariennes de longue date a eu lieu sur l’acte de prendre des œufs aux poules vivant dans des jardins. Nous avons ensuite parlé de substitut aux œufs en cuisine. Sachant que les sous-produits animaux engendrent autant de souffrance que la consommation de chair animale, il leur a paru que le mieux serait bien-sûr de devenir végane.